15 septembre 2010
De mon exil en Meuse, que j'aime ma banlieue !
Dans ce désert, la pollution au méthane dépasse celle des hommes, c'est sûr !Alors comment ces meusiens paysans vivant sur un territoire où les seules distractions se partagent entre l'église et le café du coin peuvent ils comprendre quoi que ce soit...